Le père André Menyé célèbrera les laudes, messes et adorations tous les jours habituels sauf le mercredi. il n’y a pas de permanence du curé.

“Monseigneur Aumônier m’a demandé l’an dernier de commencer une formation à l’accompagnement spirituelle, laquelle se déroule sur deux ans. Un jour par mois je serai absent et deux fois dans l’année je serai absent pendant une semaine. Je serai donc absent du 21 au 25 septembre : il n’y aura pas de permanence du curé cette semaine-là ! Je vous remercie de votre compréhension !”         

Père Vianney

La messe d’installation du père Vianney de Lacotte aura lieu le samedi 19 septembre 2020 à 18h30 en l’église sainte Clotilde de Chambourcy.

Pendant cette cérémonie notre nouveau curé recevra de Monseigneur Bruno Valentin sa charge paroissiale.

La messe sera suivi d’un apéritif donné à la maison paroissiale, une occasion  de rencontrer le père Vianney et de l’accueillir parmi nous.

Mieux comprendre la messe d’installation d’un curé

(extrait de www.catholique78.fr)
Le curé d’une paroisse reçoit sa charge pastorale de l’évêque qui lui attribue trois missions : enseigner, sanctifier, gouverner. Cette installation fait partie intégrante d’une célébration liturgique. Présenté comme « un pasteur, un père irremplaçable » par la Congrégation Romaine du Clergé[1]., le prêtre est celui qui guide sa communauté vers le Christ et vers le Père, à l’image du bon pasteur. Le curé représente le « Christ Tête » et « favorise la communion entre l’Eglise locale, diocésaine et universelle »

Mission d’enseigner

L’évêque confie au nouveau curé la charge de transmettre la Parole de Dieu et de l’enseigner. Il a charge de faire connaître à travers la prédication, la catéchèse et tout autre forme de réflexion spirituelle et d’approfondissement doctrinal « la vérité de l’Évangile » [2] en lien avec les préoccupations de notre monde : « S’ils veulent vraiment atteindre l’esprit des auditeurs, [les curés] ne doivent pas se contenter d’exposer la parole de Dieu de façon générale et abstraite mais ils doivent appliquer la vérité permanente de l’Évangile aux circonstances concrètes de la vie »[3]. Le curé a à cœur que chacun puisse grandir en liberté et en responsabilité. Il veille aussi à ce que la communauté participe à l’édification de la société en développant la solidarité et la charité.

Mission de sanctification

En présidant l’Eucharistie -de laquelle découlent tous les sacrements- le curé participe à la mission épiscopale de sanctification des fidèles. Il veille à ce que les sacrements soient donnés et que la communauté paroissiale soit habitée par le goût de la prière. Il fait de l’Eucharistie, signe de l’unité de l’Eglise, la force et la joie des fidèles. Par le baptême, l’eucharistie, la réconciliation, le mariage ou encore l’onction des malades, il permet à la communauté d’entrer en communion avec le Christ.

Mission pastorale

Le curé prend part enfin pleinement à la charge de l’évêque de rassemblement et de communion dans la paix et l’unité. Dans le rituel d’installation, l’évêque souligne : « Vous travaillerez à établir entre tous la communion de la foi et de la charité, rendant ainsi visible, en cette paroisse, le mystère de l’Eglise, corps mystique du Christ. Que votre ministère de gouvernement se déroule dans la paix et qu’il soit empreint de miséricorde et d’amour fraternel. » Le curé porte une attention particulière à ce que chacun se sente accueilli dans la communauté paroissiale. Dans le rituel d’installation, les fidèles de la paroisse reçoivent exceptionnellement la paix du Christ de la part de leur curé et reconnaissant ainsi la paix et l’autorité qui lui sont confiées.
Désigné explicitement par son ordination pour servir, le prêtre porte sa mission curiale dans l’écoute, le travail et la réflexion avec la communauté paroissiale. Cette dernière participe pleinement à la transmission de l’Évangile, notamment en soutenant les décisions et en restant force de proposition bienveillante. « Au milieu de tous les baptisés, les prêtres sont des frères parmi leurs frères, membres de l’unique Corps du Christ dont la construction a été confiée à tous » [4]. Une façon de dire que si le curé doit marcher devant, comme chef et pasteur de la communauté, il ne marche pas seul…

[1] Le prêtre, pasteur et guide de la communauté paroissiale, Congrégation Romaine du Clergé – Octobre 2002.
[2] Galates 2,5
[3] Presbterorum ordinis, n°4
[4] Presbterorum ordinis, n°9

Catéchisme
Pour les enfants, baptisés ou non qui ont le désir de connaitre l’amour de Dieu pour eux et de découvrir ou approfondir leur foi en Jésus. Il est encore possible de s’inscrire au catéchisme durant le mois de septembre en rencontrant le père Vianney à sa permanence. Faites-le savoir autour de vous !


Recherche catéchistes.
« La foi naît de l’annonce » (Romain 10,17). Pour découvrir la foi les enfants de nos villages ont besoin d’ainé dans la foi pour leur annoncer. Mais c’est aussi en annonçant que l’on approfondit sa foi. Petits et grands, tous nous avons besoins d’approfondir notre foi. Pour vous aider, il vous est possible de devenir catéchiste. Beaucoup ne se sente pas digne, ou pas à la hauteur : n’ayez pas peur, l’Esprit Saint nous accompagne dans notre mission. Plus il y aura de catéchistes, moins vous aurez de possibilité d’être seul avec les enfants !
Les enfants ont besoin de vous !

Formation chrétienne des jeunes
Tu es au collège ou au lycée. Tu n’as pas d’aumônerie là où tu étudies, ou bien tu voudrais approfondir ta foi là où tu vis pour être avec des jeunes de ta paroisse ou de la paroisse d’à côté.
Le père Vianney a le projet de monter un groupe pour t’accompagner dans ta croissance spirituelle, rapproche-toi de lui en le contactant par mail à l’adresse de la paroisse ou bien en venant à l’une de ses permanences.

La Conférence des évêques de France (CEF) a publié ce lundi les chiffres relatifs aux ordinations de prêtres pour l’année 2020. 83 prêtres diocésains seront ordonnés dans 34 diocèses de France métropolitaine, ainsi que pour le diocèse aux Armées et le diocèse de Fort-de-France, auxquels s’ajoutent 17 prêtres issus d’une communauté non religieuse ou d’une société de vie apostolique et ordonnés pour un diocèse, 21 prêtres religieux, et 5 prêtres célébrant selon la forme extraordinaire du rite romain.

Dans les diocèses concernés par les ordinations, un ou deux prêtres sont en général ordonnés. Les chiffres sont plus élevés dans les diocèses suivants: Fréjus-Toulon (8 ordinations), Paris et Saint-Brieuc (6), La Rochelle et Bayonne (4), Nice et Lyon (3)…

Et à Versailles 6,  le 28 juin 2020 :

Pierre Bouquin, Gaël Jacob, Arnaud de Lamberterie, Gautier Picard-Destelan, Grégoire Sabatié-Garat et René Kabisu. 

La plupart des ordinations presbytérales a eu lieu durant les week-ends des 20-21 juin ou auront lieu les 27 et 28 juin. Le 29 juin, l’Église fête saint Pierre et saint Paul. Différents et complémentaires, l’un et l’autre nous rappellent que l’Église est fondée sur les apôtres. C’est aux alentours de cette date que la majorité des ordinations de nouveaux prêtres sont célébrées.

En 2018, le nombre total d’ordinations était le même, réparties ainsi: 78 prêtres diocésains, 18 prêtres issus d’une communauté non religieuse et au service d’un diocèse, 30 prêtres religieux.

Comme le rappelle la CEF, la France comptait 14 786 prêtres en activité en 2017.

Comme indiqué dans le bulletin du 21 juin, le Père Patrice célébrera sa dernière messe à Chambourcy, le dimanche 30 août à 10H30.

A la fin de la célébration, nous vous invitons à venir nombreux l’entourer pour le remercier, autour d’un verre de l’amitié suivi d’un repas partagé, dans la salle paroissiale et le jardin du presbytère (ceci dans le respect des règles sanitaires qui s’appliqueront à cette date).

Pour la bonne organisation de ce moment de convivialité, en toute fin de période estivale, nous vous remercions de bien vouloir confirmer votre présence, dès maintenant et au plus tard pour le lundi 24 août, au moyen du coupon réponse ci-joint, à déposer dans la boîte aux lettres de la paroisse, 36 Grande Rue.

Si vous souhaitez participer au cadeau commun de la paroisse, merci de joindre votre contribution, sous enveloppe intitulée « Pour le 30 août »,  lors de la remise de ce coupon (de préférence par chèque libellé au nom de la « paroisse Sainte-Clotilde »),

Télécharger le coupon réponse (pensez à l’enregistrer avant de le retourner)

Le père Patrice Kaboré du diocèse de Ouagadougou (Burkina Faso) a été nommé administrateur de la paroisse de Chambourcy en septembre 2019. Quelle joie, pour les paroissiens, d’avoir marché à ses côtés de près ou de loin pendant cette année… très spéciale ! C’est avec bonheur que nous avons partagé l’allégresse qu’il a su nous communiquer.

Il célébrera sa dernière messe à Chambourcy le dimanche 30 août. À cette occasion, comme à la sortie de l’office, nous espérons pouvoir être nombreux à l’entourer pour le remercier, lui dire au revoir, et lui souhaiter bonne chance dans ses futures missions sacerdotales.

Les détails d’organisation de ce moment de convivialité vous seront communiqués en fonction de l’évolution des mesures sanitaires et de déconfinement, mais d’ici là, merci de réserver cette date…

Un Document sur l’écologie intégrale a été présenté, ce jeudi 18 juin, au Vatican, cinq ans exactement après la publication de l’encyclique Laudato si’ du Pape François.

Ce document intitulé Sur le chemin du soin de la maison commune a pour objectif d’offrir une orientation à l’action des catholiques, mais pas seulement, et d’appeler chaque chrétien à une relation saine avec la Création. Ce long et ample document de plus de 200 pages est le fruit des travaux de la “Table Interdicastérielle du Saint-Siège sur l’écologie intégrale”, créée en 2015 pour analyser comment promouvoir et mettre en œuvre l’écologie intégrale.

La première partie s’ouvre sur un rappel de la nécessité d’une conversion écologique, un changement de mentalité qui conduit à prendre soin de la vie et de la création, à dialoguer avec l’autre et à prendre conscience du lien profond entre les problèmes du monde. Il est donc suggéré de renforcer des initiatives ponctuelles pour sensibiliser au thème de l’écologie, mais aussi de transformer les styles de vie en profondeur.

Le document réaffirme ensuite la centralité de la vie et de la personne humaine, car “on ne peut pas défendre la nature si on ne défend pas chaque être humain”. Alors que certains courants de la pensée contemporaine tendent à opposer l’homme et la nature, ce Document invite à sensibiliser les nouvelles générations à la notion de “péché contre la vie humaine” et développer la “culture du soin” comme antidote à la “culture du déchet”.

La famille est également au centre de la réflexion. Fondée sur les principes fondamentaux de communion et de fécondité, elle peut devenir “un lieu d’éducation privilégié où l’on apprend à respecter l’être humain et la Création”.

En même temps, l’école est invitée à acquérir “une nouvelle centralité”, c’est-à-dire à devenir une école qui développe la capacité de discernement, la pensée critique et l’action responsable.

Lutter contre le gaspillage alimentaire

La deuxième partie du document aborde le thème de l’alimentation, en reprenant les termes du Pape François, qui considère que jeter de la nourriture revient à la “voler aux pauvres”, le texte appelle à promouvoir une agriculture “diversifiée et durable”, en défense des petits producteurs et des ressources naturelles et rappelle le besoin d’une éducation alimentaire saine, tant en qualité qu’en quantité.

Un appel fort est également lancé pour lutter contre des phénomènes tels que l’accaparement des terres, les grands projets agro-industriels polluants et pour protéger la biodiversité. L’accès à l’eau est “un droit humain essentiel”, qui nécessite d’aller au-delà des critères utilitaires qui conduisent à la privatisation de ce bien naturel. Toutes les orientations économiques doivent au contraire viser à diminuer la pollution, en sortant des énergies carbonées et en investissant dans des énergies “propres et renouvelables”, accessibles à tous. Le secteur privé est appelé à fonctionner de manière transparente dans la chaîne d’approvisionnement et une réforme des subventions aux combustibles fossiles est préconisée, tout comme la taxation des émissions de CO2.

Renforcer le droit du travail

Le domaine du travail est également au centre de la réflexion. L’éradication de la pauvreté nécessite des salaires équitables, la lutte contre le travail des enfants et le travail non déclaré. Le Document appelle à construire une économie inclusive, conciliable avec la famille et la maternité. Les “nouvelles formes d’esclavage”, comme la traite, doivent être éradiquées.

Le monde de la finance doit également jouer son rôle, en visant la “primauté du bien commun” et en essayant de mettre fin à la pauvreté.

Enfin, le document aborde la question du changement climatique, en rappelant qu’il affecte d’abord les plus pauvres et qu’il nécessite donc de nouveaux modèles de développement sobres en carbone. Parmi les propositions faites dans ce domaine émergent la reforestation de certains espaces, notamment en Amazonie, et le soutien au processus international visant à définir la catégorie de “réfugié climatique” pour assurer la «protection juridique et humanitaire nécessaire».

➢ La solution proposée par l’EAP et le CP est de mettre en place une alternance des messes entre l’église de Chambourcy et celle d’Orgeval sur les messes du samedi soir 18h30 et du dimanche matin 11h00 (exemple : semaines paires messe célébrée le samedi soir à Chambourcy et le dimanche matin 11h00 à Orgeval, et l’inverse les semaines impaires – une messe serait célébrée tous les dimanches matin à 9h00 à l’église de Morainvilliers).
➢ Dans l’hypothèse où cette alternance ne serait pas retenue par le Père Vianney (l’horaire du dimanche 11h00 serait alors attribué à l’église d’Orgeval), quelle serait votre préférence d’horaire (fixe et définitif pour toute l’année) pour la messe dominicale dans notre église Ste Clotilde:

 

L’assemblée plénière des évêques de France s’est tenue du 8 juin au 10 juin. Pas de grand rassemblement à Lourdes, comme le veut la tradition, mais une rencontre… par visioconférence en raison des mesures sanitaires en vigueur ;

Pendant trois jours les évêques ont dressé le bilan de cette période de confinement, qui a eu un impact important sur les catholiques du pays, qui va au-delà de la simple privation des sacrements, comme sur chaque citoyen, et évoqué les nombreux défis pour l’Eglise de France dans ce contexte délicat

L’un des sujets forts de réflexion des évêques a été d’envisager les défis posés par la crise économique et sociale qui touche déjà le pays, avec une précarisation grandissante de nombreux foyers.

Les deux mois de confinement ont eu par ailleurs des conséquences très concrètes sur l’équilibre économique de certains diocèses. Aussi l’épiscopat français est-il appelé à réfléchir à une solidarité renouvelée entre les différentes églises sur le territoire.

Parmi les chantiers également abordés lors de cette assemblée générale, figure aussi la réflexion sur la lutte contre la pédo-criminalité, un fléau qui est passé quelque peu au second plan ces dernières semaines dans la vie de l’Église.

Un peu plus d’un an après le traumatisme de l’incendie qui a ravagé Notre Dame, c’est une opération périlleuse qui a débuté ce lundi sur le chantier : le démontage de l’échafaudage de la flèche de l’édifice. Une étape indispensable pour que puissent se poursuivre les travaux de restauration qu’attendent non seulement les chrétiens de France, mais, avec eux, les citoyens du pays et du monde ;

Lundi 8 juin au matin, des ouvriers ont commencé à monter à l’intérieur de l’échafaudage de la flèche, dont la moitié se trouve à plus de 40 mètres de haut. Installé avant l’incendie du 15 avril 2019 pour des travaux de restauration de la flèche, l’échafaudage a résisté à l’effondrement de celle-ci lors du sinistre, mais il a été particulièrement déformé et endommagé par le feu.

La stabilité de tout l’édifice est en jeu : “L’un des points-clé est la stabilité de la voûte. Quand tout cela sera réglé, on sera très soulagés car la cathédrale sera sauvée”, a précisé Christophe-Charles Rousselot, délégué général de la Fondation Notre Dame depuis mai 2009, évoquant “une opération très sensible, très compliquée, avec un facteur de risque non négligeable”. (…). “Il peut y avoir des morceaux qui tombent de l’échafaudage et fragilisent telle ou telle partie des murs de la cathédrale”.

À partir de ce 8 juin, “deux équipes en alternance de cinq cordistes descendront au plus près des parties calcinées pour découper, à l’aide de scies sabres, les tubes métalliques fondus les uns sur les autres”. Cette opération doit se poursuivre tout au long de l’été.

Rien ne permet pour l’heure de connaître la forme finale qu’aura la cathédrale restaurée, et la flèche édifiée par Viollet-le-Duc au XIXe siècle fait l’objet de projets très divers. Une reconstruction à l’identique a toutefois les faveurs de l’architecte en chef Philippe Villeneuve, qui effectue les études de restauration, et qui estime que c’est le scénario permettant de tenir plus facilement les délais, si l’on veut que la cathédrale soit intégralement reconstruite d’ici 2024.

 

Avec les évêques de France, prions pour que ce fleuron architectural dédié à la dévotion à Marie, retrouve ses fonctions initiales le plus vite possible.