Depuis le 27 mai, le sanctuaire marial est ouvert aux pèlerins toute la journée, et non plus seulement l’après-midi. Depuis le début des mesures sanitaires, les chapelains n’ont jamais cessé de se rassembler devant la Grotte où la Vierge est apparue à Bernadette Soubirous, pour se faire entendre et servir d’intermédiaire aux nombreux pèlerins qui ne pouvaient se rendre au sanctuaire. Durant la crise, le sanctuaire de Lourdes, a été “poumon de la prière» dans le monde” (Vatican News 29/05/2020)

Grâce au déconfinement engagé en France, des pèlerins entrent à nouveau et se «réapproprient» lentement la Grotte.

Comment désormais peut-on accéder au sanctuaire?

L’important est de respecter la distanciation physique et de porter des masques. Au début, le nombre des entrées était limité, mais le préfet a considéré que la Grotte était un sanctuaire en plein air, et a donc décidé de ne pas fixer de maximum. Le pic des présences se situe aujourd’hui entre 350 et 400 personnes par jour, surtout au moment du chapelet de l’après-midi. Depuis le 27 mai, le sanctuaire est ouvert de 8 heures à 18 heures. Les bénévoles qui aident à gérer le flux sont compétents et ont reçu des instructions sur la manière dont chacun devait se comporter.

L’accès aux piscines reste impossible, mais il est autorisé de prendre de l’eau. Il y a quatre ou cinq points où l’eau coule en continu et où l’on peut puiser. On évite ainsi que tout le monde touche au robinet, ce qui pourrait créer des risques.

De bon augure et un espoir dans l’organisation future et aussi proche que possible, d’un nouveau pèlerinage diocésain.

La messe d’installation de notre nouveau Curé, le Père Vianney de Lacotte, sera célébrée en l’église Ste Clotilde le samedi 19 septembre à 18h30 par Mgr Bruno Valentin.

Comme vous le savez, le Père Vianney sera Curé de la paroisse de Chambourcy – Aigremont mais aussi de celle d’Orgeval – Bures  – Morainvilliers.

La semaine il prévoit d’être deux jours complets à Chambourcy, et d’y célébrer la messe le matin.

Les deux messes dominicales, du samedi soir et du dimanche matin, ne pourront plus être célébrées dans notre église Ste Clotilde comme nous l’avons connu jusqu’ici, car le Père Vianney devra célébrer 3 messes chaque week-end : une à Orgeval, une à Morainvilliers et une à Chambourcy.

La solution qui apporterait le plus d’équité serait d’adopter une alternance, comme les paroisses de nos campagnes peuvent le vivre. Cette alternance permettrait de maintenir l’essentiel de notre vie paroissiale et de pouvoir en particulier célébrer baptêmes et premières communions dans notre église Sainte Clotilde.

Avant de faire connaître notre préférence à notre nouveau Curé, qui nous a questionnés, nous souhaitons, l’EAP et le Conseil Pastoral, obtenir votre avis.

Une rencontre entre les 2 EAP avec le Père Vianney étant prévue mercredi 10 juin, nous vous remercions de répondre au questionnaire ci-dessous pour lundi 8 juin au plus tard (les questionnaires seront à remettre dans la boîte aux lettres du presbytère) :

_ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _ _

 

Famille (nom):_____________________________________________

Nombre de personnes :_____________________________________

 

  • La solution proposée par l’EAP et le CP est de mettre en place une alternance des messes entre l’église de Chambourcy et celle d’Orgeval sur les messes du samedi soir 18h30 et du dimanche matin 11h00 (exemple : semaines paires messe célébrée le samedi soir à Chambourcy et le dimanche matin 11h00 à Orgeval, et l’inverse les semaines impaires – une messe serait célébrée tous les dimanche matins à 9h00 à l’église de Morainvilliers).

 

  • Dans l’hypothèse où cette alternance ne serait pas retenue par le Père Vianney (l’horaire du dimanche 11h00 serait alors attribué à l’église d’Orgeval), quelle serait votre préférence d’horaire (fixe et définitif pour toute l’année) pour la messe dominicale dans notre église Ste Clotilde:

Je viendrais plutôt à la messe

Ne cocher  qu’un seul choix

Samedi soir (18h00 ou 18h30)

 

Dimanche matin               (9h00)

 

Samedi soir   (18h00 ou 18h30) – et une fois de temps en temps le dimanche matin à 9h00

 

Aucune de ces propositions ne me convient

 

Si aucune de ces 3 propositions ne vous conviendrait,quelle serait votre proposition ?

 


Vous pouvez répondre au sondage en téléchargeant le formulaire ici

 (à déposer dans la boîte aux lettres du presbytère, ou par mail à l’adresse suivante: paroisse@sainte-clotilde.fr)

En application du décret du 22 mai 2020, Monseigneur AUMONIER a fixé la reprise des célébrations publiques dans les églises des Yvelines au MARDI 26 MAI.

Pour notre paroisse Sainte-Clotilde, voici les principales dispositions mises en place, dans le respect des règles sanitaires établies, notamment pour tenir compte du nombre de personnes susceptibles d’être accueillies simultanément dans l’église soit 60 personnes maximum (adultes et enfants compris).

 

HORAIRES DES MESSES

  • les messes de semaine reprendront dès le mardi 26 mai aux horaires habituels (du mardi au samedi à 9h sauf le mercredi à 10h15)
  • grâce à la disponibilité du Père Patrice, trois messes dominicales sont prévues :
  • une messe le samedi soir à 18h30
  • une première messe le dimanche à 9h et une seconde à 10h30 comme d’habitude

 

INSCRIPTIONS POUR LES MESSES DOMINICALES

Afin de respecter le nombre de personnes présentes, une inscription aux messes dominicales sera obligatoire. Les inscriptions seront prises en compte jusqu’à vendredi 12h.

Comment s’inscrire ?

  • soit en laissant un message sur le répondeur de la paroisse avec nom, prénom, téléphone et nombre de personnes à inscrire,
  • soit en remplissant un bulletin déposé dans le fond de l’église à remettre dans la boîte à lettres de la paroisse,
  • soit via l’application Yepformdont : https://app.yepform.com/live/Reprise-limitee-des-messes-le-week-end     code 80eosc

 

MISE EN PLACE DES RÈGLES SANITAIRES

Des dispositions pratiques seront mises en place, notamment :

  • signalétique (neutralisation de certains bancs et places, fléchage pour la circulation)
  • portes de l’église ouvertes
  • respect des gestes barrières,
  • mise à disposition de gel pour la désinfection des mains,
  • port du masque obligatoire pour les adultes et les enfants à partir de 11 ans.

 

Ces informations pourront être complétées ou ajustées dans les jours à venir.

Je salue la décision du Conseil d’Etat rappelant que la liberté de culte est une liberté fondamentale, et réaffirmant comme une de ses composantes essentielles le droit de participer collectivement à des cérémonies.

 Je me réjouis que les catholiques puissent retrouver prochainement les célébrations dans leurs églises, dès que le gouvernement aura modifié le décret du 11 mai dernier.

 Je sais pouvoir compter sur le civisme et le sens des responsabilités des prêtres et des fidèles, pour que cette reprise puisse avoir lieu sereinement dans le respect des règles de précautions sanitaires”.

 

Mgr Eric Aumonier, évêque de Versailles pour les Yvelines

Le 18 mai 2020


Dans la joie d’être de nouveau rassemblés par le Seigneur


Message de Mgr Eric Aumonier à tous les fidèles du diocèse de Versailles
Samedi 23 mai 2020

Chers frères et sœurs,
Quelle joie et quel soulagement pour nous tous, fidèles du Christ !
Voici qu’en ces jours où nous nous tenons avec Marie et les Apôtres au Cénacle, dans
l’attente du don du Saint Esprit à la Pentecôte, nous allons pouvoir de nouveau être rassemblés
par le Seigneur pour la liturgie, le dimanche comme en semaine.
En application du décret n° 2020-618 du 22 mai 2020, je fixe la reprise des célébrations
publiques dans les églises catholiques des Yvelines au mardi 26 mai. Les précautions sanitaires
demeurent, pour nous comme pour l’ensemble de nos concitoyens dont nous sommes solidaires.
Dans chaque paroisse, les célébrations ne peuvent bien-sûr reprendre qu’une fois le dispositif
prudentiel mis en place et opérationnel. Je sais pouvoir compter sur la responsabilité de chaque
communauté, autour de son curé, pour le mettre en oeuvre avec sagesse. Des indications
pratiques leur ont été transmises, élaborées en concertation avec les autorités préfectorales que
je remercie pour la qualité du dialogue confiant entretenu tout au long de ce temps de
confinement.
Pendant ce mois de juin, nous accorderons une attention prioritaire aux catéchumènes.
Nous reconnaissons ainsi que le Seigneur est La source vivante de son Eglise. Nous lui rendons
grâce pour les dons immérités qu’Il nous fait. Ceux et celles qui attendent leur baptême depuis
si longtemps, avec patience et courage, pourront recevoir dans leur paroisse dès que possible
les trois sacrements de l’initiation, de même ceux qui se préparent à la confirmation.
C’est dans le même esprit de reconnaissance des dons reçus de Dieu que nous
accompagnerons par la prière les six diacres en vue du sacerdoce – Pierre Bouquin, Gaël Jacob,
Arnaud de Lamberterie, Gautier Picard Destelan, Grégoire Sabatié-Garat et René Kabisu
(eudiste) – qui seront ordonnés prêtres le 28 juin, entourés certes, mais par une assemblée bien
plus réduite que nous ne l’imaginions il y a un an !
Il nous faut penser aussi aux personnes âgées ou malades, comme à ceux et celles qui ne
peuvent se déplacer à cause d’un handicap. Puisqu’ils demeureront éloignés de l’Eucharistie,
ayons à cœur, plus encore que d’habitude, de leur porter avec soin la communion à domicile.

Pendant ce mois de juin, beaucoup pourront être encore empêchés d’accéder à la messe
le dimanche à cause des limitations de taille d’assemblée imposées par les circonstances
actuelles. Les horaires et le nombre des messes seront donc adaptés par chaque paroisse de
façon raisonnable y compris durant les autres jours, pour faciliter la participation du plus grand
nombre à la messe une fois par semaine, mais pas forcément le dimanche, d’ici l’été.
Je compte sur chacun de vous pour maintenir et approfondir en vous la vraie vie
eucharistique : elle est action de grâce et communion avec le sacrifice de Jésus donnant sa vie
pour ceux qu’Il aime. La possibilité de revenir à l’Eucharistie, comme à la source et au sommet
de notre vie, nous oblige : notre monde tout entier est entré dans une période sans doute longue
et douloureuse de crise économique, sociale et sociétale. Loin de nous enfermer dans un cocon
douillet, retrouver la vie eucharistique doit renouveler l’engagement de chacune des
communautés du diocèse auprès des plus fragiles et des plus pauvres.
Je remercie en notre nom à tous les prêtres, les diacres, et les membres des diverses
équipes pastorales, ainsi que les religieuses et les religieux, et tous ceux qui pendant le temps
du confinement n’auront pas ménagé leur peine pour rejoindre par la prière les uns et les autres
et pour aider à garder la communion fraternelle. Je les remercie déjà pour les nouveaux efforts
qu’ils vont déployer dans les semaines à venir.
Puisse tout ce que nous avons vécu ces temps-ci, et ce que nous sommes appelés à vivre
maintenant, contribuer à façonner en nous la sainteté. Dieu a tant aimé le monde…A nous d’en
être les témoins par notre façon renouvelée d’aimer !

À l’occasion du centenaire de sa naissance, Mgr Henryk Hoser, archevêque polonais, visiteur apostolique revient pour “Vatican-news” sur le lien qui unissait le Pape polonais à la Mère de Dieu.

Jean-Paul II en avait fait sa devise, Totus Tuus. Une dévotion à Marie inscrite sur son blason papal, une dévotion qui a marqué sa vie entière. La figure de la Madone fut le fil conducteur du pontificat et de la vie de Jean-Paul II.

Il a grandi dans une ambiance familiale et sociale très marquée par la piété mariale. C’est au cours d’un pèlerinage avec son père au sanctuaire national de Pologne, à Jasna Góra Częstochowa, qu’il a découvert ce visage de la Madone noire de la Mère de Dieu.

Le Pape était marial jusqu’à la moelle, il était marial de toute son âme, de tout son cœur. Il a exprimé cette foi profonde dans beaucoup de document qu’il a publié. Les voyages de Jean-Paul II ont souvent revêtu une dimension mariale, de ses premières tournées de 1979 au Mexique et en Pologne, à son dernier, à Lourdes en 2004.

Jean-Paul II a tracé le chemin, le parcours, l’itinéraire accompli par Marie dans sa foi. Ce fut le fil conducteur de son activisme marial et il montre la foi de Marie qui était une foi difficile, passant par des ténèbres, par la souffrance, par des moments très dramatiques de sa vie. Je crois qu’il s’est identifié à de tels moments de ténèbres mais aussi à ses lumières après le passage des ténèbres : il a montré avec insistance le lien indissoluble du Christ et de Marie à partir de son incarnation jusqu’au mystère de la Pâques, la présence de Marie au pied de la croix. Lors de son dernier pèlerinage à Lourdes, dramatique, le Pape pleurait devant la statue de la Vierge Marie, étant déjà diminué très physiquement. Il a vécu à la façon d’un martyr le passage qui précédait sa mort.

De retour d’une longue maladie, notre doyen s’adresse à ses paroissiens

Bonjour à tous

 

A quelques heures de mon retour parmi vous, au moins géographiquement avant de l’être de visu, encore confinés, je relis avec vous des extraits d’une lettre de notre évêque, diffusée sur le site de la Paroisse, et vous propose quelques implications concrètes pour ce temps de déconfinement qui s’annonce.

« Nous sommes en ces temps conduits à approfondir la façon dont nous vivons le mystère de l’Église comme un mystère de communion, et non pas à nous plaindre. La communion n’est pas seulement un accord sur la foi mais un échange, une écoute, une capacité́ à recevoir, la conscience d’être membres d’un même Corps ochacun ne peut vivre séparément ou en concurrence mais prend part aux joies et aux épreuves des uns et des autres. »

C’est ce que nous vivons depuis le début de ce confinement, pour moi depuis bientôt 5 mois, une vraie communion et la conscience encourageante, nourrissante et réjouissante d’être membre d’un même Corps dont Jésus ressuscité est la Tête. Quelle force dans cette proximité́ qui est tout sauf virtuelle de Jésus Lui-même, permettant celle des uns avec les autres ; quelle vérité́ qui éclaire les ombres et les ténèbres de nos existences ordinaires, répétitives, difficiles parfois ; vérité́ qui réchauffe le cœur dans les moments d’angoisse, de souffrance, de mort ; quelle espérance qui console quand l’horizon de nos vies semble dans le brouillard, hasardeux, peu maîtrisable.

« La privation de la célébration eucharistique est une épreuve considérable, qu’il faudra traverser encore quelque temps, comme si notre désir de communion eucharistique et notre foi en l’Eucharistie avaient besoin d’être purifies et émondés. »

Nous poursuivons un temps où la communion de désir n’est pas rien dans notre vie spirituelle, familiale, même professionnelle : elle demeure le sacrifice célébré́ par nous, prêtres, sans vous physiquement, mais pour le Salut du monde, là, ici et maintenant encore heureusement. Sachez que nous y portons vos intentions, les offrandes de vos vies confinées, de vos travaux, les difficultés ou les opportunités trouvées dans ce temps particulier pour intensifier votre vie de foi et de prière.

« L’adoration consiste à aimer Dieu infiniment aimable et à communier en paroles en pensées et en actes à son amour pour tous les hommes avec Jésus crucifi. Elle nous aide à ne jamais oublier « quel sang nous a rachetés », et à communier à la charité́ du Christ. C’est donc le plus bel acte d’amour que l’homme puisse accomplir avec la grâce de Dieu et c’est un début de la réalisation de notre vocation. (…)

« Adorer, recevoir le pardon, c’est communier et vivre de la charité́ du Christ. Or la charité́ est le cœur du mystère de Dieu révélé́ en Jésus. Elle est le cœur de la vie de l’Église animée par l’Esprit de Pentecôte. Elle se vérifie et suscite en nous une charité́ concrète envers les pauvres, le partage des biens et l’accueil de la sainteté́ de Dieu qui sont indissociables et font partie de notre ADN. »

Je sais tous les gestes, initiatives de solidarité́ dont vous avez été́ bénéficiaires et acteurs durant ces semaines. Il faut continuer puisque telle est la manière dont nous vivons notre vocation à la sainteté́ et en témoignerons le plus largement, pour le bien de tous. Merci à tous et cherchons toujours ensemble, avec la grâce de Dieu, l’intelligence, la disponibilité́ et la persévérance pour poursuivre ce qui a été́ entrepris, ce qui doit être encouragé, ce qui doit être encore imaginé.

« On veillera à vivre ces prochaines semaines comme un temps de préparation à la fête de Pentecôte et au don de l’Esprit d’amour, particulièrement par la prière à domicile. Après le temps du confinement, vécu dans le strict cadre familial, on pourra se regrouper entre voisins ou amis, dans la limite de 10 personnes, pour prolonger ces expériences d’Église domestique. Cela pourrait se faire également pour suivre ensemble la retransmission de la messe à la télévision ou par internet. » (…)

Comme la Vierge Marie retenant et méditant tous les évènements dans son cœur, nous aussi, dans la joie de progresser toujours, consolés dans notre temps, pour reprendre les mots du Pape François, grâce à la proximité́ du Christ qui nous sauve et qu’Il nous assure, à la connaissance de la Vérité́ qu’Il est et qui nous grandit, à l’espérance qui ouvre les possibles et qu’Il nous ouvre.

 

Père Thierry

Ce 12 mai 2020, Journée Internationale de l’Infirmière des Sages-femmes et du Personnel infirmier, s’inscrit,cette année, dans un contexte particulier compte tenu de la pandémie de coronavirus.

Dans son message écrit, rendu public ce mardi 12, le Pape explique que dans «ce moment historique, marqué par l’urgence sanitaire mondiale provoquée par la pandémie du virus Covid-19, nous avons redécouvert combien la figure de l’infirmière, mais aussi celle de la sage-femme, jouent un rôle d’importance fondamentale. Nous assistons quotidiennement au témoignage de courage et de sacrifice des opérateurs sanitaires, en particulier des infirmières et des infirmiers, qui avec professionnalisme, abnégation, sens de responsabilité et amour pour le prochain assistent les personnes affectées par le virus, au risque même de leur santé.»

Le Pape prie pour les infirmières et les infirmiers, exemples d’héroïsme, mais aussi pour les soignants victimes du coronavirus

«Je prie pour eux – le Seigneur les connaît chacun par son nom – et pour toutes les victimes de cette épidémie », assure le Pape. « Que le Ressuscité donne à chacun d’eux la lumière du paradis et le réconfort de la foi à leurs familles.»

«Chaque jour, au contact avec les malades, ils font l’expérience du traumatisme que la souffrance provoque dans la vie d’une personne. Ce sont des hommes et des femmes qui ont choisi de répondre “oui” à une vocation particulière : celle d’être de bons samaritains qui assument la vie et les blessures du prochain.»

«Vous êtes proches des personnes dans les moments cruciaux de leur existence, la naissance et la mort, la maladie et la guérison, pour les aider à surmonter les situations les plus traumatisantes. Parfois vous vous trouvez à leurs côtés lorsqu’elles sont mourantes, donnant réconfort et soulagement dans les derniers instants. Par votre dévouement, vous êtes parmi les “saints de la porte d’à côté”».

Le Saint Père en appelle aussi à des politiques de santé plus ambitieuses :

En relevant les carences mises en lumière par la crise du coronavirus, le pape François s’adresse aux responsables politiques«afin qu’ils investissent dans la santé comme bien commun primaire, en renforçant les structures et en employant davantage d’infirmiers, afin de garantir à tous un service adéquat de soins, dans le respect de la dignité de chaque personne. Il est important de reconnaître de façon concrète le rôle essentiel que cette profession recouvre pour le soin des patients, l’activité d’urgence territoriale, la prévention des maladies, la promotion de la santé, l’assistance dans le domaine familial, communautaire, scolaire.»

Il invite aussi à mieux valoriser le profil professionnel de ces métiers du soin,«en fournissant des instruments appropriés au niveau scientifique, humain, psychologique et spirituel pour leur formation». Il faut aussi«améliorer leurs conditions de travail et en garantir les droits afin qu’ils puissent accomplir en toute dignité leur service.» Il adresse enfin un salut particulier aux sages-femmes en soulignant que leur travail«est parmi les plus nobles qui existent, consacré directement au service de la vie et de la maternité. Dans la Bible, les noms de deux sages-femmes héroïques, Shiphra et Pua, sont immortalisés au commencement du livre de l’Exode (cf. 1, 15-21). Aujourd’hui encore le Père céleste vous regarde avec gratitude»

«Chers infirmiers, chères infirmières et sages-femmes, puisse cet anniversaire mettre au centre la dignité de votre travail, au bénéfice de la santé de la société entière.

Chers paroissiens de Chambourcy-Aigremont et d’Orgeval-Morainvilliers,

 

Le premier septembre prochain, j’aurai la joie de vivre au milieu de vous et avec vous avec la mission de curé, celui qui prend soin des âmes. Je remercie le père Patrice Kaboré et le père Louis Ménard pour le temps qu’ils m’ont déjà consacré et qu’ils me consacreront encore afin de me permettre de préparer la mission qui m’est donnée, dans les meilleures conditions. Et d’avance je vous remercie aussi pour votre accueil, je sais que le changement fréquent de curé ou d’administrateur, comme c’est votre cas, n’est pas évident.

 

J’arrive dans une mission que j’ai à découvrir avec vous. En effet je n’ai jamais été curé. Ordonné prêtre en 2014, j’ai été pendant un an prêtre étudiant à l’Institut Notre Dame de Vie pour clôturer le cycle des cinq années de théologie, puis j’ai été envoyé comme vicaire à la paroisse des Mureaux. Là j’ai appris à être prêtre avec charge de vicaire, avec vous j’apprendrai à être prêtre avec charge de curé !

 

Sixième de sept enfants, j’ai reçu de mes parents l’exemple de la prière. Après un an d’étude en faculté de droit, j’ai été autorisé à entrer à la Maison saint Jean Baptiste qui est une année de fondation spirituelle pour les jeunes hommes qui s’interrogent sur la vocation sacerdotale. Après cette année, je suis entré, pour deux ans, au séminaire diocésain nouvellement ouvert. Afin d’acquérir un peu plus d « épaisseur humaine », notre évêque m’a envoyé pendant deux ans au Cambodge. Là j’avais la charge de toute l’animation de la communauté catholique francophone de Phnom-Penh, mais j’avais aussi diverses activités auprès des cambodgiens : cours de français, aide dans diverses associations qui s’occupent pour l’une d’orphelins, pour l’autre d’enfants sourds-muets, ou encore de l’accompagnement des ouvrières des usines de textiles. De retour en France, j’ai été envoyé en étude de théologie jusqu’à mon ordination.

 

Cette présentation rapide se veut un écho de vos noms qui me sont rapporté par vos pasteurs respectif, nom qui nourrissent ma prière dans l’attente de vous rencontrer. Je me confie aussi à vos prières !

Que Dieu vous bénisse !

Père Vianney de Lacotte

Il n’y a pas une recette miracle face à tous les défis posés par le confinement mais il existe une multitude de propositions qui permettront à chacun d’en faire une chance pour consolider sa vie de couple ou de famille.

Voilà plus d’un mois que le coronavirus contraint les familles à rester confinées, souvent dans la promiscuité, privant beaucoup d’entre nous de travail, de ressources financières et d’une manière générale de déplacements, d’activités et de sociabilité.

Dans cette période inédite, les couples et les familles ont dû faire face à de nombreux défis :

Il a fallu changer ses habitudes ! S’adapter aux nouvelles exigences et nouveaux besoins de chacun et faire entendre les siens. Au début cela a pu prendre un peu de temps pour trouver un équilibre…

Tout d’un coup, les règles du jeu changent !

Il n’y a pas de recette miracle face à tous ces défis mais il existe une multitude de propositions nées de la créativité de nombreux mouvements, paroisses ou diocèses qui permettront à chacun de faire de tous ces défis une chance pour consolider sa vie de couple ou de famille.

Pour cette semaine, nous vous proposons Un kit pour vivre une soirée en couple spécial confinement proposé par la paroisse de Poissy

 

 

Monseigneur Eric Aumonier, notre évêque, a décidé de rattacher les deux paroisses d’Orgeval-Morainvilliers et de Chambourcy-Aigremont sous la houlette d’un même Curé au 1er septembre prochain. Le Père Vianney HEME de LACOTTE, actuellement Vicaire des paroisses du groupement des Mureaux sera notre nouveau pasteur.

Le Père Louis Ménard est nommé à l’équipe des prêtres de la paroisse de Rambouillet. Le Père Patrice est en attente d’une nouvelle mission en accord avec son archevêque.