Editorial

Entre le 25 décembre et le 5 janvier 2025, sont célébrées la naissance de Jésus le
Sauveur et l’entrée dans l’année jubilaire ayant pour thème : « Pèlerins d’espérance »

A moins que le Seigneur ne revienne bientôt dans sa gloire, nous connaîtrons tous le passage de la mort ! Nous nous interrogeons sur ce qui arrivera. La foi nous éclaire afin de nous préparer.

« Je ne meurs pas, j’entre dans la Vie », disait sainte Thérèse de Lisieux. La fête de la Toussaint est l’expression festive de cette réalité de foi : nous croyons en la vie éternelle et cela nous engage dans l’espérance. L’espérance, n’est pas une attente. Elle est un regard jeté au loin pour savoir où nous allons.

Dans l’Evangile de ce dimanche 22 septembre, Jésus nous dit que, celui qui veut être le premier dans le Royaume de Dieu, doit se faire le serviteur de tous. Jésus lui-même s’est fait serviteur pour tous nous sauver

Soyez les bienvenus, vous qui arrivés sur notre groupement paroissial. Comme dans les Actes des Apôtres nous sommes heureux de vous accueillir, de recevoir de vous les nouvelles de la vitalité et des épreuves de l’Eglise locale d’où vous venez !

Pendant quelques semaines, nous n’entendrons que parler de politique. Certains se demandent : que fait le Bon Dieu ? C’est l’occasion de découvrir l’autonomie du temporel.

       Le sacrement de Confirmation est, pour beaucoup, un grand inconnu. Nouveauté de l’Église Catholique pour certains, simple renouvellement de notre engagement envers Dieu pour d’autres.
      Pourtant la Confirmation est bien un sacrement qui a sa propre spécificité.

Dans l’évangile de ce jour, le sarment de vigne qui fructifie et qui fait la gloire de Dieu le Père, c’est chacun d’entre nous. Dieu attend que nous portions du fruit. Le fruit n’a pas sa finalité en lui-même, il est fait pour être mangé (servir les autres) ou pour engendrer la vie car il porte en lui une graine.

En ce dimanche de Pâques, nous célébrons le cœur de notre foi : la mort et la résurrection de Jésus. Peut-on se dire chrétien si nous ne croyons pas à la résurrection ? Cette question n’est pas neuve.